C’est quoi un intervalle ?
En musique, on appelle un intervalle la distance qui sépare deux sons qui se trouvent à deux hauteurs différentes.
Intervalles mélodiques et intervalles harmoniques
Un intervalle peut être perçu de deux manières :
Mélodiquement, c’est à dire sous une forme horizontale lorsque les deux sons qui composent l’intervalle sont joués successivement. Dans ce cas on parle d’intervalle mélodique.
Harmoniquement, c’est à dire sous une forme verticale lorsque les deux sons sont joués simultanément. On parle alors d’intervalle harmonique.
Intervalles mélodiques ascendants et descendants
Quand on joue ou quand on chante un intervalle mélodique, on dit que l’intervalle est « ascendant » lorsque la seconde note est plus aiguë que la première. On dit que l’intervalle est « descendant » lorsque la seconde note est plus grave que la première.
Le nom des 12 intervalles
Afin de pouvoir consciemment percevoir et nommer ces distances entre deux sons, notre cerveau a besoin d’une échelle de référence. Dans l’histoire de la musique tonale l’échelle diatonique, c’est à dire la gamme majeure et ses 7 degrés, s’est imposée au fil du temps comme le référent principal. C’est ainsi que toute la terminologie liée aux intervalles repose sur cette gamme majeure.
Pour mieux comprendre les gammes majeures et leur construction, nous vous recommandons de lire notre article sur les gammes et le cycle des quintes.
Nous allons utiliser les qualificatifs « majeur », « mineur » et « juste » pour distinguer les intervalles. Le qualificatif « mineur » va abaisser l’intervalle majeur d’un demi-ton. Ainsi, l’intervalle entre deux notes de musique séparées par un demi-ton s’appelle une « seconde mineure ». Certains intervalles ne s’abaissent pas, on ne les appelle donc ni majeur, ni mineur, d’où le nom « juste ». À noter, la quarte et la quinte sont communs à beaucoup de gammes diatoniques et font partie de ces intervalles qualifiés de « juste ».
Prenons la note de musique DO comme la première note d’un intervalle :
En musique, on appelle un intervalle la distance qui sépare deux sons qui se trouvent à deux hauteurs différentes.
Intervalles mélodiques et intervalles harmoniques
Un intervalle peut être perçu de deux manières :
Mélodiquement, c’est à dire sous une forme horizontale lorsque les deux sons qui composent l’intervalle sont joués successivement. Dans ce cas on parle d’intervalle mélodique.
Harmoniquement, c’est à dire sous une forme verticale lorsque les deux sons sont joués simultanément. On parle alors d’intervalle harmonique.
Intervalles mélodiques ascendants et descendants
Quand on joue ou quand on chante un intervalle mélodique, on dit que l’intervalle est « ascendant » lorsque la seconde note est plus aiguë que la première. On dit que l’intervalle est « descendant » lorsque la seconde note est plus grave que la première.
Le nom des 12 intervalles
Afin de pouvoir consciemment percevoir et nommer ces distances entre deux sons, notre cerveau a besoin d’une échelle de référence. Dans l’histoire de la musique tonale l’échelle diatonique, c’est à dire la gamme majeure et ses 7 degrés, s’est imposée au fil du temps comme le référent principal. C’est ainsi que toute la terminologie liée aux intervalles repose sur cette gamme majeure.
Pour mieux comprendre les gammes majeures et leur construction, nous vous recommandons de lire notre article sur les gammes et le cycle des quintes.
Nous allons utiliser les qualificatifs « majeur », « mineur » et « juste » pour distinguer les intervalles. Le qualificatif « mineur » va abaisser l’intervalle majeur d’un demi-ton. Ainsi, l’intervalle entre deux notes de musique séparées par un demi-ton s’appelle une « seconde mineure ». Certains intervalles ne s’abaissent pas, on ne les appelle donc ni majeur, ni mineur, d’où le nom « juste ». À noter, la quarte et la quinte sont communs à beaucoup de gammes diatoniques et font partie de ces intervalles qualifiés de « juste ».
Prenons la note de musique DO comme la première note d’un intervalle :